Spéculation
foncière et immobilière, gentrification des quartiers populaires,
élaboration de projets aberrants et nuisibles, partenariats
public-privé, disparition des terres agricoles... Pour en savoir un peu
plus et organiser les résistances !
Fouillis
programmatique et institutionnel, masqué par la construction d’un
coûteux réseau de transports présenté comme indispensable et bénéfique
pour tous les habitant-e-s d’Île-de-France, le Grand Paris connaît un
engouement médiatique et politique quasiment sans fausse note.
Pourtant ce nouvel exemple d’expansion métropolitaine au service de l’attractivité et de la compétitivité porte en lui sa logique de dévastation sociale et écologique : spéculation foncière et immobilière, gentrification des quartiers populaires, élaboration de projets aberrants et nuisibles, partenariats public-privé, disparition des terres agricoles, etc.
Mettre en évidence cette réalité pour s’y opposer est encore une tâche à mener.
Si l’intention d’une planification globale de la région n’est pas nouvelle [1], l’expression « Grand Paris » désigne plus récemment un projet d’aménagement de l’Île-de-France lancé par le gouvernement Fillon et qui a donné lieu à une loi adoptée en juin 2010.
Ce processus a démarré en 2007 avec une consultation architecturale internationale opposant dix équipes « pluridisciplinaires » devant élaborer chacune une vision d’ensemble de l’aménagement francilien.
Pourtant ce nouvel exemple d’expansion métropolitaine au service de l’attractivité et de la compétitivité porte en lui sa logique de dévastation sociale et écologique : spéculation foncière et immobilière, gentrification des quartiers populaires, élaboration de projets aberrants et nuisibles, partenariats public-privé, disparition des terres agricoles, etc.
Mettre en évidence cette réalité pour s’y opposer est encore une tâche à mener.
Si l’intention d’une planification globale de la région n’est pas nouvelle [1], l’expression « Grand Paris » désigne plus récemment un projet d’aménagement de l’Île-de-France lancé par le gouvernement Fillon et qui a donné lieu à une loi adoptée en juin 2010.
Ce processus a démarré en 2007 avec une consultation architecturale internationale opposant dix équipes « pluridisciplinaires » devant élaborer chacune une vision d’ensemble de l’aménagement francilien.