mardi 17 mai 2016

LOI TRAVAIL : OUI LA LUTTE DES CLASSES EXISTE...!

LOI TRAVAIL : OUI LA LUTTE DES CLASSES EXISTE. ET NOUS SOMMES EN TRAIN DE LA GAGNER SUR LE CHAMP DES IDEES...!
L'idée de lutte des classes n'est pas une chimère, une contre-vérité surgie de nulle part. Comme l'explique Alain Badiou, elle se mesure à l'aune de trois ratios :
- Taux de profit annuel : 6%
- Taux de croissance annuel : 1%
- Taux d'augmentation salariale : ZERO. En revanche, nombre de chômeurs supplémentaires basculant chaque année dans la misère : +300 000 en moyenne.

vendredi 13 mai 2016

L'insoumission qui vient

Affichage pour le défilé de la France insoumise le 5 juin à Stalingrad. Pour l'occasion, nous avons un peu débordé sur la banlieue de Pantin : Paris et le Pré-Saint-Gervais.





jeudi 5 mai 2016

D'anciens cadres du PS soutiennent la proposition de candidature de JLM.

Mélenchon, le candidat de la raison

Par : Liêm Hoang-Ngoc Ex-membre du bureau national du PS Julien Jusforgues Ex-membre du conseil national Daniel Bonnot Ex-membre de la Commission nationale des conflits Roger Tropéano Ex-délégué national Catherine Renaud-Mayer Ex-première secrétaire fédérale de la Manche Laurent Beaud Ex-membre du bureau fédéral de l’Hérault Alain Bourgeade Ex-membre du bureau fédéral de Haute-Garonne Jean-Claude Bridon Ex-membre du bureau fédéral du Cher Fabienne Chiche Ex-membre du bureau fédéral du Val-de-Marne Annie Darrieux Ex-membre du bureau fédéral du Gers Sabrina Ghallal Ex-membre du bureau fédéral de la Marne Denis Gouteux Ex-membre du bureau fédéral du Cantal Nicolas Grondin Ex-membre du bureau fédéral de l’Essonne Laurent Hecquet Ex-membre du bureau fédéral du Puy-de-Dôme Catherine Laur Ex-membre du bureau fédéral de l’Aveyron Frédéric Martin-Delvincourt Ex-membre du bureau fédéral des adhésions de Paris Jean-Claude Maurin Ex-membre du bureau fédéral du Gard Anas Moutabarrik Ex-membre du bureau fédéral de la Marne Daniel Orts Ex-membre du conseil fédéral de l’Aveyron Franck Rey Ex-membre du bureau fédéral du Cantal Olivier Spinelli Ex-membre du bureau fédéral de la Somme.

Anciens cadres nationaux et fédéraux du PS, aujourd’hui membres de la Nouvelle Gauche socialiste, nous avons quitté le parti d’Epinay, en crise profonde, et comptons parmi les déçus du quinquennat de François Hollande.

Pour un statut politique du producteur


Cette proposition de l'insoumise Stéfanie Stouf sur la plateforme jlm2017.fr a retenu notre attention :

Pour un statut politique du producteur qui nous reconnaisse comme majeur économique (propriétaire de notre valeur ajoutée) et nous donne droit à un salaire à vie dès l'âge de 18 ans. Il est possible de rompre avec la logique du capital, qui décide seul de tout ce qui a trait à l’emploi et à la production, mais aussi avec la logique qui enferme le salarié dans son exploitation (qui se double souvent de son aliénation) et qui ne peut, au mieux, que revendiquer la reconnaissance de sa souffrance. Rompre avec cette logique nécessite de lui opposer l’expression positive de notre qualité de producteur, c’est-à-dire affirmer le fait que nous sommes les créateurs exclusifs de la valeur économique. L’expression de ce potentiel impose de donner à ce qui le fonde — la qualification de la personne — et non au poste de travail, toute la force du politique. La nécessité de la création d’un droit universel à qualification, comme droit politique constitutionnel, appelé à devenir partie intégrante de la citoyenneté au même titre que le droit de suffrage. Ce droit instituera un statut politique du producteur, et se déclinera dans l’attribution d’une qualification personnelle à chaque citoyen dès l’âge de dix‑huit ans. Cette qualification sera irrévocable, pourra progresser à l’ancienneté ainsi qu’au travers d’épreuves de qualification, et fondera pour son titulaire l’obtention d’un salaire à vie correspondant à son niveau de qualification.

mercredi 4 mai 2016

Qu'est-ce que le peuple ?

"Le peuple existe quand il se met en réseau. Des gens de toutes les rues, de tous les quartiers, se révèlent alors pleinement habités par les relations urbaines qui les unifient en dépit de leur dispersion dans l'immensité citadine. Ils sont unis par un vécu et des attentes similaires qui diluent beaucoup des différences de condition et de localisation. Le peuple est le sujet de l,histoire contemporaine. Le peuple, c'est la multitude urbanisée prenant conscience d'elle-même à travers des revendications communes enracinées dans les soucis quotidiens de l'existence concrète."
Jean-Luc Mélenchon, L'ère du peuple.